Un petit essai en ce jour du 24 mars…
24 mars 2010 par Maëster
Un petit essai en ce jour du 24 mars…
Publié dans Caricatures | Tagué Bullitt, Guet-apens, Papillon, Steve McQueen, Tom Horn | 19 commentaires
Le Baudelaire est frais. Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère, (1) "toutes les oeuvres présentes sur ce site appartiennent exclusivement à l'auteur (sauf mention contraire) aux termes des articles L 111-1 et L112-1 du code de Propriété Intellectuelle. Toute reproduction, diffusion publique, usage commercial sont par conséquent interdits sans autorisation du titulaire des droits."
Donc, merci de ne pas balancer mes dessins et mes images aux quatre coins de l'internet ou d'ailleurs...
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(1) C'est valable aussi pour l'hypocrite lectrice, ma (moins) semblable, ma soeur... et plus si affinités, et pour les quelques ignares égarés ici, la phrase est empruntée à M. Charles Baudelaire, dans ses bien jolies "Fleurs du Mal"
Pour voir ma tronche en vidéo le site d'un aficionado : cliquez là.
(pas de commentaire sur ma coupe de cheveux...)
Le Chef a culotté ses casseroles dans les cuisines de Fluide Glacial avant d'avoir une poêle dans la main chez Glénat. Inventeur de la célèbre recette de la "soeur Marie-Thérèse des Batignolles" au vin rouge, il est considéré comme un Maître-que ("Oh, Maître, que c'est beau !" "Oh, Maître, que vous êtes drôle..." - Ne pas omettre l'Oh Maître hommage au maître). C'est une crème (qui peut mal tourner), un peu soupe-au-lait et esthète de l'art.
WPThemes.
On dirait en effet le McQueen de la fin des années soixante (« L’affaire Thomas Crown », « Le Kid de Cincinnati », « Bullitt »…) au visage plus marqué et au regard plus grave que dans « Les sept mercenaires », par exemple, ce qui rend la nuance aussi spectaculaire quand on la détaille du regard qu’elle a sans doute été complexe à représenter.
C’est magnifiquement troublant tant le bonhomme est difficile à saisir et qu’ils sont rares ceux à y être parvenus. Je saute, je bondis, me voilà tout gai tapant : merci, cher Maëster, la journée commence bien !
Comme Clint Eastwood, McQueen fait partie des paysages où j’aime me promener ; il y a toujours quelque chose à découvrir, une nuance dans le regard, un peu d’enfance dans le sourire. J’ai parfois l’impression qu’il a un visage en pâte à modeler, une pâte qui commence à sécher au soleil, virant au cuir, mais qui retrouve sa souplesse dans le sourire.
Merci (comme toujours) de ton regard sagace qui guette, ah ouais.
un petit essai bien transformé ! C’est un peut toujours le grand chelem par ici ! 🙂
Yes! Super.
C’est bete mais j’ai enfin découvert que le travail de la bouche (je veux dire le travail graphique…) Est essentiel en caricature. Particulièrement réussi ici. On y retrouve bien son mouvement de bouche caractéristique.
Maester in italiano è maestro. Come un allievo del Verrocchio o del Pinturicchio vorrei essere vostro ragazzo di bottega.
Siete « grande » il Michelangelo della Caricatura.
Vs devotissimo Arcangelo
Grazie mille. Non parlo italiano ma ho compreso…
Au nom de la Loi Maester c’est un chef d’oeuvre !
Sublime!
j’adore l’efficacité qu’il y a a chaque fois dans ton travail !
Il est mon acteur préféré, et ce que j’adore chez lui c’est son
coté enfantin et a la fois animal…et je pense que l’on a pas fini de lui tourner autour, et de le dessiner et de le redessiner tellement il offre des quantités d’expressions …
Merci cher Maëster de nous faire partager ton talent !
Toi-même !
(pour ceux qui ont la chance de ne pas connaître Charles Da Costa, allez voir, vous allez prendre un raz-de-marée de gifles)
eh bien moi qui depuis longtemps ne vous admire ni vous révère, tant vous êtes au delà….[Je crois que tout simplement je vous aime, Maester… et pour votre humour, et pour votre talent, et pour votre (sale) caractère.]
donc… je m’arroge le droit de dire que voilà par une heureuse coïncidence toute perso, que ce dessin là, est mon cadeau d’anniv à moi…
L’adorable type que vous représentâtes et moi sommes nés le même jour… et je suis tombée sous son charme au premier regard… a long time ago.
… alors… Merci….
Mais c’était fait exprès, bien sûr. Joyeux fairy-versaire.
Superbe caricature, le regard est particulièrement bien rendu et tout ça sans couleur, chapeau. Vous venez de m’envoyer un boulett venant du yang tse en plein estomac, je vais manger qq œufs durs pour essayer de m’en remettre.
bonjour mr Maester,
je profite de ce message pour prendre le temps pour vous remercier pour les conseils que vous m’avez prodiguer l’autre jour (au sujet de la reprise de personnages connus en bd) ca m’a permis de rectifier certains erreurs que j’ai pus commettre.
j’ai reussi finalement à me fixer sur un format d’histoires à 9 planches (le genre de format d’histoires que vous avez l’habitude de réaliser) afin de postuler par la suite pour une pré-publication auprès de journaux comme l’écho ,fluide ou autre.
je voulais vous demander quelques conseils au niveau de l’écriture :
comment abordez vous la rédaction d’une histoire en general? partez vous d’une structure scénaristique classique que vous avez mis au point ou bien cela depend de l’histoire et vous ajoutez ou enlevez des planches en fonction de celle ci?
je pose ces questions car c’est la premiere fois que je me retrouve à écrire des histoires de ce format.je me suis retrouvé à faire en deux parties l’histoire que j’ai ecrit (aussi bien pour avoir une meilleure respiration de l’histoire et de lisibilité des cases qui sont tres détaillés).
le format de 9 planches me plait beaucoup et j’aimerais avoir quelques conseils ;pour la rédaction des prochaines histoires; qui me permettraient de ne pas en faire de trop et aller à l’essentiel en respectant les 9 pages.
comme toujours merci pour vos conseils éclairés
Inutile de vous imposer des contraintes de format, faites le nombre de pages nécessaires au déroulement de l’histoire.
Il m’arrive, comme actuellement, de partir sur une histoire de 5 pages et de déborder lors de la réalisation vers 6 ou 7 pages au final (voire plus).
Papa !
Après tout, il y a déjà 3 personnes qui ont trouvé que je lui ressemblais. Ça suffit pour demander un test génétique ? 🙂
Vous nous avez joué un tour infernal, maester !
ah d’accord.ce n’est pas que je m’impose une contrainte de format vous savez,mais dans l’optique de proposer en pré- publication ce que je fais un jour et comme vous me l’aviez conseille une fois de ne pas demarcher pour une premiere fois avec une histoire qui ferait 13 voire 14 planche si ce n’est plus.
je vous posais ces questions tout à l’heure car ce que j’aime bien dans vos histoires c’est qu’au dela de l’aspect esthetique vous avez l’art d’ecrire des histoires qui vont directement dans le vif du sujet,c’est rapide, clair et il ne vous faut pas beaucoup de pages pour chaque histoires ou tres rarement alors.
personellement j’ai encore tendance a en faire des tartines meme si avec le temps j’arrive a reperer plus facilement ou je dois faire des coupes dans l’histoire pour accelerer le rythme et ne pas m’eterniser.
en tous cas merci pour le conseil mr maester
Salut !
Et un p’tit gribouilli de Mr McQueen avec une bécane ( une TRIUMPH biensûr ! ) :
» T’es cap !? »
Quoi qu’il en soit , merci de lui rendre hommage et évidemment : »Bravo ! »
Un motard triumphal de la côte basque.
D’un coup il y a un truc qui me frappe : j’ai des visions ou Laurence Parisot est la fille cachée de Steve !8(
j’en profite pour vous dire toute mon admiration pour vos idées et votre coup de crayon