Pas sûr que tout le monde se souvienne
du frais minois de Maria Schneider (l’actrice)…
Elle a laissé d’autres souvenirs.
La maison n’accepte pas l’échec.
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(pas de commentaire sur ma coupe de cheveux...)-
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Un café et l\’addition
Les Mignardises
Au frigo
En cuisine
Le Chef a culotté ses casseroles dans les cuisines de Fluide Glacial avant d'avoir une poêle dans la main chez Glénat. Inventeur de la célèbre recette de la "soeur Marie-Thérèse des Batignolles" au vin rouge, il est considéré comme un Maître-que ("Oh, Maître, que c'est beau !" "Oh, Maître, que vous êtes drôle..." - Ne pas omettre l'Oh Maître hommage au maître). C'est une crème (qui peut mal tourner), un peu soupe-au-lait et esthète de l'art.
La Grande Tambouille de Maëster 
tout n’était pas frais, c’était aussi un peu fondant 😉
Rrrrrhhâââââââââââââââââââââââââ !
Pour un dernier tango avec elle je donnerai bien toute ma chimiothérapie !
M’enfin… elle doit avoir bien changé, elle aussi, depuis 1972, l’année où j’ai raté mon bac !
Grâce à votre talent je revois cette scène dans la salle de bains, cette volupté des gestes, cette langueur du corps…
Je pourrais même me contenter d’une valse immobile, la tête nichée dans le doux vallon de sa si jolie poitrine…
Ben quoi… je me console comme je peux !
Merci de cette émotion que je n’attendais pas et que vous avez réveillée, loin dans mon souvenir.
Film déchirant du tournant d’une époque, d’un changement douloureux de paradigme sociétal sur la place de l’homme et de la femme, tant l’un par rapport à l’autre que dans l’ensemble du rapport à la société, le tout sur fond de souffrance amoureuse, chacun ayant perdu son autre part d’humanité en perdant son amour d’avant, comme pour les précipiter dans ce nouveau modèle.
Bien sûr on se rappelle plus certaines scènes jugées outrancières ou pornographiques à l’époque qu’on ne se rappelle de la teneur du film sur l’impossibilité d’aimer vraiment autrui au-delà de soi-même.
Finalement, mon seul mauvais souvenir de ce film est la présence de J.-P.Léaud dont je n’ai jamais pu supporter les prestations ni comprendre pourquoi Truffaut et d’autres (dont Rivette et, ici, Bertolucci) avaient pu lui confier un rôle, parmi plus de 80 au cours de cette trop longue et incompréhensible carrière ! Voilà qui me reste un mystère…
M’enfin… il me reste aussi la musique du film dans la tête.
Merci à vous, cher Maëster pour cette plongée si profonde dans de si anciennes émotions, juste par la magie de ce trait apparemment si simple, acquise par une si longue pratique au service d’une sensibilité évidente dans ce dessin.
Il est vrais que l’on se souvient plus de son côté pile que de sa face
Elle est belle votre Maria Schneider Maître !
« Maria Schneider mystérieuse femme moderne a impressionné les pellicules en même temps qu’un très vaste public. » Cette phrase prise dans une biographie est je pense un compliment mérité par cette très belle actrice.
C’est étonnant comme son regard pouvait (peut) passer de la candeur (comme dans ce dessin) au sulfureux en un éclair. Elle est très bien aussi dans « Profession reporter » d’Antonioni aux côtés de Nicholson.
L’expression de Brando, elle aussi, a bien été saisie (dans le beurre, miam !).
Cette tambouille vaut vraiment le détour pour goûter de si craquants croquis !
Merci bien Maître Coquelet, niveau cuisine, tu nous régales régulièrement.
Ton plat de Meryl’s tripes est goûtu à souhait… Et ta recette de « Flot beurre à la madame boeuf-à-riz » est une merveille gustavtive.
Depuis Elle (et lui), je ne peux pas regarder une plaquette de beurre, sans m’émouvoir un trou petit peu.
Bien réussi, indéniablement.
AaaaH La belle Maria! Superbe dessin cher Maître.
Tout ce que je me souviens de ce film c’est de la recette de la raie au beurre 🙂
Voilà,dès qu’on évoque le dernier tango,tout le monde pense cuisine au beurre!!! 😉
Relisez le commentaire de Marcel (le premier concernant cet article), vous constaterez que s’il y étale sa nostalgie en tartine généreuse, il n’y met pas de beurre.
C’est vrai,sa tartine n’est pas beurrée!!! 😉
Tu es au courant de l’arrêt de Siné hebdo ou c’est un poisson d’avril?http://lindingre.com/
Je ne suis pas au courant, sinon que la situation n’était pas bien brillante dernièrement malgré un contenu qui commençait à être de mieux en mieux, plus structuré, plus documenté, plus adulte. Mais la survie d’un canard, sans pub, sans actionnaires, sans soutien (autre que les lecteurs), c’est casse-gueule.
On verra bien ce que dit le prochain numéro…
Si c’est vrai,ça laissera un grand vide,je n’ai pas loupé un seul numéro depuis le début!
ah non connais pas, mais la voir comme ça, donne vraiment envie de faire plus ample connaissance… 🙂
Bonjour,
Je me souviens surtout de la fin du film où Brando rejoint celle qu’il aime dans la mort. Apparemment, il n’y avait pas d’autre issue…
Charente poitou, chantait Coluche…
Voir Brando maigre ça change aussi, pour ceux qui comme moi se souviennent de lui dans apocalypse now, 7ans plus tard…
Bien réussi, comme d’habitude, votre dessin.
Et à propos: soutient à Siné hebdo!
Sympa l’hommage!
Par contre, c’est marrant, la caricature la fait assez ressembler à Isabelle Mergault, je trouve! Héhé! (quand elle était un chouilla plus jeune!)
http://bibliobs.nouvelobs.com/20100329/18554/sine-hebdo-cest-fini
Je viens d’avoir un mail qui confirme la triste nouvelle.
je te trouve toujours en forme quand il y a des formes ou que tu déformes. Bref, toujours jubilatoire dans la forme.
(c’est mercredi, j’ai l’droit)
Je ne ferai aucune allusion à la tienne, de forme, tu pourrais mal interpréter et en prendre ombrage.
C’est clair, j’ai du mal à regarder son minois plus de 2 secondes 😉
C’était vraiment le Dernier tango.
Maria Schneider est décédée d’un cancer jeudi 3 février.
Pour mémoire : http://www.filmsdefemmes.com/Maria-Schneider-Belle-et-rebelle.html