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Conscient de la douleur que certains dérapages récents
de mes petits crayons ont pu faire subir à une noble
et belle institution au-dessus de tout soupçon, et aussi
parce qu’un dessin sur les CRS fait péter les statistiques
plus sûrement qu’un titre du genre « le calendrier nu des
forces de police » (1) ou qu’un poème cucul-la-praline
d’un inverti alcoolique drogué trafiquant d’armes,
j’en remets une couche, pour pourfendre enfin une
légende irrationnelle sur l’inculture de nos chers
« gardiens de la paix ». Spéciale dédicace à Serge.
(1) Donc, oui, j’ai cherché et oui, ça existe.