Thierry Coquelet nous a récemment livré
une sublime bombe anatomique qui a fait
perdre la tête à beaucoup d’hommes en son
temps, avant de tragiquement voir s’envoler
la sienne, coupant court à une carrière
en dents de scie…
Je vous soumets une version plus charnelle.
En la revoyant à l’écran, elle m’évoque
le curieux mélange d’une Marilyn plus délurée
et d’une Bardot plus épanouie. Le cocktail
ne manque pas de puissance et s’avère explosif.