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Archive for avril 2012

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Michelle, ma belle… Happy birthday…

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(Curieusement, cette étude à l’aquarelle ne représentait pas

Michelle Pfeiffer au départ, mais mon inconscient s’est trahi)

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Et en plus, elle chante… Ca donne envie d’acheter un piano.

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Une petite video qui fait réfléchir, en ces tristes temps de campagne

électo-ras-le-caniveau (auxquels je préfère décidément ces temps de réflexion) :

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Il y a d’autres vidéos, plus développées, sur Voustube et ailleurs.

Et son site : http://etienne.chouard.free.fr/Europe/

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…parce que. Déjà parce qu’il le vaut bien, ce vieux réac (il a quand même

la « classe américaine« , ce bon George Abitbol). Et aussi parce que

nous avons une petite surprise en préparation, avec quelques amis

comme Achdé (qui tient mieux ses pinceaux que sa langue), Borot,

Coquelet, Da CostaTheb. Et Mister Mulatier himself, si tout va bien…

Une belle brochette. A suivre. 

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Quelques recherches, pas encore tout à fait concluantes,

mais que je vais retravailler jusqu’à ce que j’en sois satisfait

(comptez une bonne dizaine d’années).

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Un film de Sébastien Lilli, de l’INREES.

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Blues-berry.

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Voilà ce qu’on gribouille à 3h du matin après avoir

dessiné sur un bloc papier et être arrivé au carton.

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En ces périodes de Pâques et d’oeufs, celui qui reste au nid pond.

Je vous ai donc pondu un neuf (qui n’évite pas les chocs, hola !),

également sujet du challenge de Caricaturama Showdown 3000!

de la semaine, Mister Jackie Chan.

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Comme le concours dure cette fois deux semaines,

il est possible que je le retravaille.

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Parce que ce fut son anniversaire le premier avril…

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Avec son physique de jeune premier tourmenté,

nul doute qu’il en fit pâmer plus d’une, menant peut-être

une vie galante tumultueuse (du genre que les ascètes

amours raillent). Pourtant, sa dimension tragique, quasi

shakespearienne, dans ses moindres rôles, là, forte,

reste cachée aux yeux des plus ignares. Sans juron, on

peut le regretter. Mais devant sa fougue et son maniement

du sabre, l’ébat fond, ne persiste que sa puissance et sa

noblesse. Au Japon comme ailleurs, l’Art a qui rit et qui

impressionne. Il fut plutôt de cette trempe.

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