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A la demande gênée-de ceux qui-râlent (c’est
une boutade, hein, ne le prenez pas mal, ceux
qui vous impatientiez), voici la suite du travail en cours
(et la fin, en ce qui concerne ce dessin). Mais
que cela ne vous empêche pas d’acheter le livre
quand il sortira, hein. Petits sacripants.
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Avec en prime les deux rôles féminins du film « Pale Rider » ;
Carrie Snodgress et Sydney Penny.
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Bonjour Maître Maëster,vous utiliser du « craft » pour tendre vos feuilles,is’nt it ?
Heu… Si vous lisiez les réponses que je fais à vos commentaires… ? (sur l’article précédent)
Merci! il y à eu interférence, bonne journée.
Ah, je comprends mieux.
C’est vraiment très beau!!!
Merci.
Merci pour ce cadeau ! Prenez votre temps, profitez de l’été malgré tout, je sais déjà qu’il sera magnifique, ce collectif ! En plus s’il y a Sydney Penny, alors là, évidemment…
Pas facile, la demoiselle (à dessiner), je lui ai d’ailleurs peut-être trop déformé la pommette. Mais c’était pour accentuer ce côté « indien »…
Bonjour,
Vous avez la forme à c’que j’vois. Votre dessin déchire sa race, comme on dit de nos jours… Et à combien s’élèverait le prix pour une planche comme celle-ci, dans votre boutique?
En tout cas je sais pourquoi je vous admire, moi qui ne sais pas dessiner un cheval sans qu’il ressemble à une vache… (et encore, heureusement qu’elles ont des cornes c’est à ça qu’on les reconnais!) Encore bravo, c’est limite jouissif… Euh pardon je m’égare…
Cordiales salutations.
PS: Hydratez-vous!
Pour la forme, ça va (même si avec la chaleur, j’ai parfois l’impression de perdre toute forme). Rassurez-vous, je m’hydrate.
Pour le prix, je n’y ai pas réfléchi. Je verrai (plus tard) si j’en fais des tirages, pas envie de vendre l’original pour l’instant.
En tout cas, merci de votre enthousiasme, ça fait plaisir.
Clint, c’est quand même la bogossitude, couleur de sa veste comprise, je vous tire mon chapeau…
On va travailler dessus, sa « bogossitude »…
Vraiment belle technique.
Quand on envisage le parcours depuis « …Et boules de gommes » jusqu’à maintenant, on se pose la question : mais que vous reste-t-il comme défi de dessinateur ? (et me parlez-pas de Sébastian Krüger nani-nanère…)
Des défis de dessinateur ? Krüger nani-nanère, bien sûr (mais je n’espère même pas arriver à le suivre, juste me promener sur ses traces). Et puis la peinture (j’ai essayé mais pour l’instant, je suis loin de maîtriser), la tablette graphique (pour aller plus vite), finir un album dans les délais…
Houla, ce dernier risque d’être le plus difficile.
C’est vrai que c’est bien beau tout ça ! Mon écran a pris de la valeur rien qu’à avoir affiché ces images !
Héhé… Si la valeur des écrans dépendaient de ce qui s’y affichent, les écrans de téléviseurs ne vaudraient pas grand chose, en général.
Toujours des merveilles, chez vous. 🙂
Merci. C’est vrai que depuis que je ne dessine plus Sarko…
Y a pas à dire, c’est mieux que le numérique. J’aimerais tellement savoir peindre comme ça. Vous avez les mains (en tout cas la main) en or! L’œil aussi d’ailleurs.
Le numérique est un outil ; hélas, beaucoup de gens l’utilisent pour atteindre un rendu photographique (dans la caricature), ce qui uniformise les styles. Je n’ai pas fini de découvrir les plaisirs du travail en traditionnel.
Avoir de l’or dans les mains, quand on évoque le film « Pale rider », a un côté comique…
Superbe travail!!!
Mais petite incompréhension au niveau des « grandes narines » de Clint…
Merci pour ce partage et bonne continuation.
Ma foi, c’est ainsi que je les vois (ses narines), du moins dans cette image.
Cela a du être très dur de sélectionner les personnages à « caricaturer »…
Il y avait aussi Doug McGrath dans le rôle d’Eddie Conway (qui a de l’or plein les mains lui !).
Ou encore l’apparition de Richard Kiel et d’autres personnages de second plan.
Joli travail et belle composition.
J’ai l’impression que vous vous éloignez de la bande dessinée pour l’illustration (je ne sais si c’est le bon mot). Changement de cap ou je me trompe ?
Au plaisir
Les adjoints de Stockburn auraient fait une belle brochette également. Ou LaHood. Mais il fallait bien faire un choix, apporter un peu de douceur dans ce monde de brutes avec les deux personnages féminins, l’un qui porte la désillusion sur le visage, l’autre l’espoir de la jeunesse, me semblait un bon compromis.
Pour le « changement de cap », il n’est que provisoire. La BD m’attend…
Gros gros Respect pour la mise en couleur..! Mais vous n’effectuez pas les traits avant de commencer toutes couleurs. ? au lavis en plus ..??
Ah ben si, quand même, je fais un tracé léger (au stylo bille, en l’occurrence) que je reprends ensuite au pinceau.
.. eh ben .. une sacrée performance avec les mains moites sous la chaleur.. 🙂
Surtout sur de l’aquarelle, gare aux doigts gras, aux gouttes de sueur et au bras qui colle…
. . . en tout cas, belle réalisation… Cela donne envie de tenter le coup..
– on ne vous voit pas à Eauze semaine prochaine…(?)
Non, pas d’Eauze cette année, j’ai du boulot…
Wouahouh !
C’est superbe ! Bravo !
Merci msieur.
Dommage…J’vous aurais bien serré la paluche encore une fois… J’y vais taquiner le bon Achdé…
– – Sinon ; J’ai hâte que votre bouquin sorte.. !
Encore un peu de patience, il est « en chantier » (et vous en serez « en chantés », j’espère)
J’en suis sûr .. !
Bonjour,
Travail de toute bôôté, toujours aussi éblouissant ! Les expressions sont parfaites, comme le jeu des lumières sur les moindres reliefs de la peau. Vous avez dû aussi vous éclater sur le plissé de la veste du grand Clint.
Pour reprendre le sujet sur le traditionnel, ça sent la sueur, les tripes et le style n’appartient qu’à vous. Merci pour les yeux (que j’ouvre en grand pour apprendre).
Cordialement.
Il y a un côté jouissif à travailler à l’aquarelle, en traditionnel plutôt qu’en numérique ; il y a une réelle prise de risque, et l’erreur est souvent impossible à rattraper. Mais il est vrai que je ne maîtrise pas l’outil informatique et que j’y trouverais peut-être autant sinon plus de plaisir. Pour l’instant, ce funambulisme des pinceaux me convient.
not’ mait’ est trop modeste…il maîtrise parfaitement l’informatique,en truffant ses chroniques dessinées de succulents films-films,en adéquation parfaite avec les sujets qu’il traite (de pis en pis ?),et comme il le dit si bien,l’aquarelle n’est pas rattrapable, les « blancs » sont ceux de la feuille de papier, ce ne sont pas des « rehauts » quelconque…
On peut se permettre les rehauts de blanc sur l’aquarelle (comme je l’ai fait récemment dans le dessin sur « Pale Rider », réalisé sur un papier de couleur), mais on ne peut pas modifier un trait ni un coup de pinceau sans alourdir le dessin.
Coucou Maëster,
Félicitation pour ce superbe travail ! Encore bravo et vivement la sortie de l’album !!!
Félicien
je suis le père de Félicien, j’ai 50 ans et j’admire votre travail. Pale Rider est de toute beauté.
Vincent
On peut donc être père de 50 ans sans être pâle et ridé… Merci.