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Il y a eu il y a peu un nouveau concours de caricatures sur Facebook
(il y en a tout le temps), celui-ci concernant l’inoubliable Serpico,
l’incontournable Michael Corleone, l’inévitable Tony Montana…
le grand Al Pacino. Je vous livre mes dessins du sujet. Un par un,
bien sûr…
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Tout simplement superbe. Au dernier portrait, on entendrait sa voix rien qu’en le regardant.
Le dernier m’a permis de remporter ce concours. Je pense néanmoins que je peux encore améliorer les choses. Une prochaine fois. Merci à vous…
« Approche petit, approche.. ».(murmure) « Comme on dit, ya pas photo, (parle plus bas, car on pourrait bien nous entendre…) C’est de l’art petit, de l’art! »
« En tout cas, c’est votre portrait craché, Don »
« Merci petit, il devait pas me rater. Je lui ai fait une offre qu’il ne pouvait refuser… »
Comme je n’ai pas de cheval, c’est une tête de l’art que j’ai trouvé dans mon lit…
SUperbe ! Le dernier enlève tout, mais les recherches sont chouettes aussi.
J’aime beaucoup la troisième, très calme, l’attitude est très belle.
Un jour, je reprendrai ces études pour finaliser un peu mieux ce « Tony Montana ».
cher monsieur
c est remarquable en tous points , finesse, justesse
encore une grande lecon
et la remarque de mr fletch sur la derniere caricature : je n aurais pas pu dire mieux.
cordialement
lorenzzo
Merci. Les concours sur Facebook me permettent de continuer à chercher et m’obligent à aller toujours plus loin. Je vous recommande de vous y lancer, à l’occasion. C’est un excellent exercice et un très bon entraînement.
Le second me fait penser furieusement à François Fillon…
A qui ?
Je m y suis essayé cher monsieur, et c est par cette belle occasion que j ai pu sortir mon album de caricatures, préfacé par Chris Wahl. Tout a commencé la.
Oui, il faudra que je vous en re-parle, d’ailleurs.
Je continue par ailleurs a y participer, dans mon coin ( au concours de caricatures).. l exercice est excellent comme vous dites , mais de la a poster mes dessins , face a tous ces maitres… J empille toutes mes modestes oeuvres pour le tome 2 .
La confrontation avec les autres, et les commentaires et critiques que cela peut susciter, sont aussi très enrichissants. Pensez-y…
Ils sont tous superbes, mais le troisième est EXXXXELLENT (aucun mot pour le définir). On ne voit pas une caricature de Tony Montana, on voit Al Pacino en train de jouer Tony Montana (c’est un compliment, hein). Bref, superbe.
Oui, j’aimerais retravailler celui-ci en couleurs, plus tard… Merci.
Stupéfiant, en particulier les 1, 3 et 5.
Au-delà de la classique caricature des traits du visage, vous parvenez à attraper quelque chose du regard qui rend ces dessins très vivants.
Bravo !
Il faut dire que Pacino est particulièrement « stupéfiant » dans le rôle de Tony Montana. Merci, en tout cas.
Dans le dernier, il me fait plutot penser a sa prestation dans ‘Any given Sunday’.. joli coup..!
Vous captez avec acuité les regards de vos sujets et les retranscrivez si bien, à chaque fois c’est sidérant.
Serait-ce trop demander de nous faire à l’occasion une « re-maesterisation » de la photo par Steve McCurry de la petite afghane au regard si intense Sharbat Gula?
Je cherche ailleurs cette même intensité ; cette photo est tellement connue et tellement vue qu’il me semble difficile de la « re-maesteriser »…
Epoustouflant le dernier portrait …
« The Scarecrow »
C’est dans « the scarecrow » que j’ai découvert Al Pacino. Un de « mes » cinq ou six films, après tant et tant.
Et dire qu’il me faut rencontrer un -(Maitre, certes)- dessinateur de religieuse-légionnaire pour comprendre, en un dessin, que c’est encore et toujours le regard, comme Brel peu avant, au centre d’une gueule.
Encore, bien sûr, faut il maîtriser ce regard, et le reporter.
Epoustouflant est le terme juste, je mi tassocy…
Merci. Je l’ai souvent répété, l’un des éléments les plus importants dans un visage, donc dans la caricature, c’est pour moi le regard. Bien sûr, on peut réussir une caricature sans le regard, ceux de mes collègues qui se sont attaqués à Ray Charles en savent quelque chose, mais le regard reste pour moi l’élément fondamental. Pour effleurer l’âme du sujet, et en restituer l’humanité.
Et, question regard, Pacino est incontournable.
Magnifico