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Pour se faire du bien à l’âme, deux perles que je vous conseille.
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Un film plein d’humanité et de soleil sur des cabossés de la vie
qui se rencontrent et se reconnaissent. Magnifiquement filmé,
magnifiquement interprété par des comédiens peu connus et
toujours justes. Un beau moment d’émotion.
Merci, M. Dupeyron.
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Et un livre, le dernier né des Editions Valentine.
Le témoignage simple et beau d’un chemin de vie
vers la Lumière et la (re)connaissance de Soi.
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A commander sur le site tout nouveau tout beau
des Editions Valentine (cliquez ici) où vous pourrez
aussi lire les premières pages en exclusivité…
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La Grande Tambouille de Maëster 
cher monsieur
je vais suivre vos conseils, rien que vos explications donnent envie de lire ou voir…
bien cordialement
lorenzzo
Vous me direz ce que vous en avez pensé…
j’ai adoré ce film pour plein de raisons
Il y a plein de raisons d’aimer ce film.
Tout ça est très tentant, car on a bien besoin de pansement sur l’âme…
Merci du tuyau. Tout ça me fait penser à une phrase de Michel Audiard (si ma mémoire est bonne) qui dit à peu près :
J’aime les fêlés, ils laissent passer la lumière.
Je eu la chance de voir le film à sa sortie, un régal….
Je vous savais spirituel, mais je vois que c’est dans tout les sens du terme.
Je ne connais pas le film mais j’aime bien cet acteur. La bande annonce (et la votre) me donne envie de le voir. Je ne connais pas le réalisateur mais j’aime bien ce qu’il dit:
« J’ai pris conscience, au moment où je tournais Mon Âme par toi guérie – projet refusé partout, finalement rendu possible grâce au soutien du producteur indépendant Paulo Branco – que cela faisait dix ans que les portes de certaines chaînes de télévision (France 2, France 3, Arte) m’étaient fermées, six ans que rien n’avait pu se faire avec les autres, comme Canal +. Or, il n’y a aujourd’hui qu’une seule véritable source de financement du cinéma : la télévision. Tout le pouvoir est concentré là, entre quelques mains : si une chaîne dit « oui », vous faites votre film. Si elles disent « non », à de très rares exceptions près, votre projet ne verra pas le jour. »
(http://www.la-croix.com/Culture/Cinema/Francois-Dupeyron-Je-me-sens-casse-2013-09-25-1024700)
Je note la phrase « à de très rares exceptions »!
Un beau film, avec d’excellents acteurs, et pour une fois une vision de l’alcoolisme proche du réel et non pas magnifiée par une sorte de folklore joyeux du genre « Un singe en hiver ».
une tranche de viessss