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Pendant ce temps, Soeur Marie-Thérèse compte les poings…
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19 février 2014 par Maëster
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Pendant ce temps, Soeur Marie-Thérèse compte les poings…
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Publié dans Boulot qui avance | Tagué Album, BD, Encrage, Hulk, soeur Marie-Thérèse, Travail en cours | 31 commentaires
Le Baudelaire est frais. Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère, (1) "toutes les oeuvres présentes sur ce site appartiennent exclusivement à l'auteur (sauf mention contraire) aux termes des articles L 111-1 et L112-1 du code de Propriété Intellectuelle. Toute reproduction, diffusion publique, usage commercial sont par conséquent interdits sans autorisation du titulaire des droits."
Donc, merci de ne pas balancer mes dessins et mes images aux quatre coins de l'internet ou d'ailleurs...
Important : Les commentaires étant modérés, ils n'apparaîtront qu'après validation de ma part. Ne vous étonnez pas de ne pas les voir s'afficher immédiatement.
(1) C'est valable aussi pour l'hypocrite lectrice, ma (moins) semblable, ma soeur... et plus si affinités, et pour les quelques ignares égarés ici, la phrase est empruntée à M. Charles Baudelaire, dans ses bien jolies "Fleurs du Mal"
Pour voir ma tronche en vidéo le site d'un aficionado : cliquez là.
(pas de commentaire sur ma coupe de cheveux...)
Le Chef a culotté ses casseroles dans les cuisines de Fluide Glacial avant d'avoir une poêle dans la main chez Glénat. Inventeur de la célèbre recette de la "soeur Marie-Thérèse des Batignolles" au vin rouge, il est considéré comme un Maître-que ("Oh, Maître, que c'est beau !" "Oh, Maître, que vous êtes drôle..." - Ne pas omettre l'Oh Maître hommage au maître). C'est une crème (qui peut mal tourner), un peu soupe-au-lait et esthète de l'art.
WPThemes.
Raah Lovely !
Il me semble qu’elle a beaucoup changé, soeur Marie-Thérèse depuis le dernier album.
Elle était déjà costaude, mais là pardon ! Vous lui avez fait faire beaucoup de muscu et abuser des produits dopants (ou des OGM ?) 😉
Le danger des Maësteroïdes…
Moi qui pensais que les dessinateurs de BD avaient troqué, crayons à papier, gomme, et feutre pour des tablettes graphiques WACOM et photoshop…je vois Maitre que vous travaillez toujours avec les outils traditionnels.Bravo
Je n’ai aucun mérite, je vais plus vite avec un crayon qu’avec un stylet… Et j’ai des stocks de papier à écouler.
cher monsieur
quel bonheur de vous retrouver a votre table a dessin pour de la bande dessinée. J attend avec grande impatience ce que cela donnera mais je sais que l issue finale sera une grande satisfaction. J aime tout votre travail en général , mais la BD….
J ai souvent l impression de me répéter avec vous, mais peu importe
cordialement
lorenzzo
Merci de votre fidélité, c’est toujours un plaisir à lire…
Raââhâââ, ce coup de Patte!
Elle pervertit déjà bien assez la jeunesse tout en bafouant l’autorité et ses symboles (en ai-je oublié ?). J’espère qu’elle ne sera pas à poil, ni conseillée aux enfants de maternelle par l’Éducation nationale comme d’autres livres abominables sur lesquels vacillent les fondements de notre République une, catholique et indivisible.
Une sœur Marie-Thérèse hulkisée ça laisse rêveur tout de même. Et j’imagine que le petit bonhomme est dieu qui se fait tout petit devant, une énorme bonne sœur, qui ne fait pas maman quand on la touche.
Soeur Marie-Thérèse est au-dessus de ces perversions, de même qu’elle ne saurait verdir sous la colère ; sa couleur reste invariablement le gros rouge.
C’est ce qui s’appelle avancer des arguments forts.
Tous les moyens sont bons pour renforcer la Foi…
Notamment celle qui surgit quand on a les foies.
A vous lire
Marrant j’aurai juré que les planches étaient plus grandes.
Je suis encore plus ébaubi devant une telle dextérité !
((j’ai la palme du fayot ? En même temps c’est sincère ! huhuhu !
Format A3, suffisant pour travailler et pas trop grand pour ne pas se perdre dans les détails.
« Format A3, suffisant pour travailler et pas trop grand pour ne pas se perdre dans les détails. » Maëster
Étant donné votre habitude d’insérer dans chaque case ou presque un motif cocasse ou un objet détourné, on va maintenant être nombreux à souhaiter que vous bossiez sur du A2 pour en avoir encore plus!
(ces détails qui me poussent à reprendre l’album du début pour retrouver celles loupées en première lecture…ça me fait penser à chaque fois à la coccinelle ou au rat qui mènent leur propre vie dans la trame des histoires de Gotlib ).
Sinon j’en profite pour vous soumettre la suggestion suivante: puisque vous travaillez de façon artisanale et que vous nous gratifiez déjà de photos prises au fur et à mesure de votre travail, vous devriez peut-être penser à faire des albums en version « collector » incluant des pages de « making of » supplémentaires, je suis sûr que ça aurait du succès.
Les ré-éditions en couleur des premiers albums que Glénat a lancées récemment incluent justement quelques pages « bonus » avec quelques « making off ».
attention quand même « un poing c est tout » c est parait il la devise des fistfucker 🙂
Je suis resté très ouvert. D’esprit.
Tandis que « Impôt sait tout » est la devise des fiscfucker (qui gardent leur Rolex au poignet en toutes circonstances, à la différence des premiers…).
OK, je sors …
C’est superbe. Comme toujours de toute façon ! (mais personnellement je ne m’en lasse pas, alors…)
En revanche, je me suis toujours demandé quelle était l’utilité du papier calque en BD ?… Je vois toujours les dessinateurs s’en servir (J’aperçois votre dernière case calquée à gauche de la dernière photo) mais je ne comprends pas bien pourquoi. C’est une sorte de « sauvegarde » ? (désolé c’est surement une question bête mais l’envers du décor m’intéresse et je ne trouve pas souvent réponses à mes questions).
L’utilité du papier calque, c’est de décalquer, tout simplement. Mais il n’y en a pas ici. Il y a un « rough », un brouillon réalisé sur un papier ordinaire, repris ensuite (décalqué, d’une certaine façon) au propre sur la papier définitif grâce à une table lumineuse.
La table lumineuse est aussi ma meilleure amie pour les animations! J’espère vraiment un jour avoir la chance de voir en vrai quelques-unes de vos planches (mais oui on peut rêver)!
D’ailleurs le feutre pinceau dont vous parliez lors d’un précédent article est génial. Je pensais préférer le medium (je parle du feutre) et peu utiliser le fin, c’est tout l’inverse!
Oui, c’est très agréable à utiliser…
Par curiosité, en moyenne, vous « usez » combien de feutre par album?
Les autres albums ont été réalisés encore plus « à l’ancienne », à la plume. Et c’est parce que j’en usais beaucoup (trop) et que je ne trouvais plus de plumes idéales que je suis passé à ces feutres pinceaux. Je vous dirai donc à la fin de cet album (pour peu que j’aie conservé les feutres usés).
Conservez, conservez!
Je ne suis pas très conservateur.
salut
juste pour savoir ce quoi comme feutre posé sur la feuille et la marque
merci pour la compréhension.
Feutre Kuretake Mangaka flexible (feutre pinceau).
Vivement!!!!Bon travail,on attend de pied ferme la sortie de l’album!!! 😉
Peut être sera t-il finaliser pour le festival BD de roquebrune sur argens…
😉
Je crains que le festival de Roquebrune-sur-Argens n’existe plus…