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Avec un peu de retard pour son anniversaire,
3 septembre 2010 par Maëster
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Avec un peu de retard pour son anniversaire,
Publié dans Caricatures | Tagué anniversaire, Cinéma, Lawrence d'Arabie, Peter O'Toole | 26 commentaires
Le Baudelaire est frais. Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère, (1) "toutes les oeuvres présentes sur ce site appartiennent exclusivement à l'auteur (sauf mention contraire) aux termes des articles L 111-1 et L112-1 du code de Propriété Intellectuelle. Toute reproduction, diffusion publique, usage commercial sont par conséquent interdits sans autorisation du titulaire des droits."
Donc, merci de ne pas balancer mes dessins et mes images aux quatre coins de l'internet ou d'ailleurs...
Important : Les commentaires étant modérés, ils n'apparaîtront qu'après validation de ma part. Ne vous étonnez pas de ne pas les voir s'afficher immédiatement.
(1) C'est valable aussi pour l'hypocrite lectrice, ma (moins) semblable, ma soeur... et plus si affinités, et pour les quelques ignares égarés ici, la phrase est empruntée à M. Charles Baudelaire, dans ses bien jolies "Fleurs du Mal"
Pour voir ma tronche en vidéo le site d'un aficionado : cliquez là.
(pas de commentaire sur ma coupe de cheveux...)
Le Chef a culotté ses casseroles dans les cuisines de Fluide Glacial avant d'avoir une poêle dans la main chez Glénat. Inventeur de la célèbre recette de la "soeur Marie-Thérèse des Batignolles" au vin rouge, il est considéré comme un Maître-que ("Oh, Maître, que c'est beau !" "Oh, Maître, que vous êtes drôle..." - Ne pas omettre l'Oh Maître hommage au maître). C'est une crème (qui peut mal tourner), un peu soupe-au-lait et esthète de l'art.
WPThemes.
Tout simplement pour dire que l’aquarelle est sublime.
Merci…
Superbe caricature (quelle lumière !), et une « belle gueule » à caricaturer.
Aussi beau qu’efficace (d’autant que son visage n’est pas des plus facile à réaliser).
La douceur de la lumière et des teinte offre un nuancier de couleurs doux comme du coton et plus suave que l’eau rance d’un radis.
En aquarelle, même une vieille eau salie permet de nuancer ses couleurs ; l’eau rance d’art habille…
on l’aurait bien vu avec une « cup of tea » en train de s’exclamer « oh my god, quel talent ce Maester! »
L’homme dont le regard est à la lingerie féminine ce qu’un chalumeau est à une motte de beurre.
Le regard d’un chaton orphelin.
On vient justement de voir et revoir « What’s new Pussycat » sur Arte, de quoi faire grimper en flèche le chiffre d’affaire de l’industrie textile.
Belle performance que d’avoir rendu ce regard, même si je trouve qu’il est un peu triste.
Pour ma part, je le trouve superbe ( le dessin ) justement parce qu’il traduit à merveille la tristesse incurable qui inonde son regard et le rend séduisant ( l’acteur ). Ne dirait-on pas qu’il s’interroge sur la noble incertitude du sport, en regardant passer le Paris-Dakar ?
» Le record du nombre d’enfants tués sur le parcours sera-t-il battu cette année ? »
Pour avoir su traduire et reproduire ce sentiment dans l’éclat bleu azur de Peter , keffieh bas l’artiste !
Très beau portrait ! J’aime beaucoup l’ombre violette aussi.
Bravo Maëster.
… Et bon week-end !
C’est splendide ! Ca me rend malade de jalousie !
Ne soyez pas malade, ce n’est pas le but…
Bonjour,
A peu de jours près vous oubliâtes l’anniversaire de Thomas Edward Lawrence né un 16 Aout.
Ce regard dans le lointain, absent, ailleurs. Je pense à une esquisse de Lawrence faite à Paris par Augustus John lors de la rédaction du traité de Versailles. Ce même regard lointain…
Votre aquarelle est sublime, on dirait une photo
Bon dimanche
Vous voulez parler de ce portrait ? C’est un beau compliment…
Oui, mais surtout ce crayonné, pris sur le vif à Paris en 1919.
Heureux que le compliment vous touche.
Bon dimanche encore.
Excellent painting, sir!
If I may, I’d like to recommend the sequel, relatively unknown but quite good too: « A Dangerous Man, Lawrence after Arabia » with Ralph Fiennes as T.E. Lawrence and Alexander Siddig as Prince Feisal. It’s relates to the events after the movie where Lawrence goes to Europe in 1919 to argue for Arab independence at the Paris Peace conference. Although made for TV and not as epic as the first movie, there are some great performances from the main actors and everyone included, and it deals with European politics vis-a-vis the Middle East in the beginning of the 20th Century.
http://www.imdb.com/title/tt0099356/
Tout simplement magnifique!
Salut Maîster.
Merci pour le « Plat du Jour ».
Hallucinant !
O.
Salut à toi, la belle… Heureux de te revoir par ici.
Il doit être pourtant bien difficile à saisir, O’Toole jeune, mais tu l’as fait avec une aisance et une grâce insolentes (on retrouve tout, jusqu’à ce côté gentleman so british dans son regard). Cette superbe caricature à elle seule résume toute la fresque cinématographique dont elle s’inspire et en restitue le souffle chaud. Elle produit une envie soudaine de grands espaces puis, juste après, le désir plus titillant encore de troquer le crayon pour le pinceau. Comme plusieurs autres commentateurs, en effet, je suis également séduit par la qualité de l’aquarelle. A bien y regarder, pourtant, elle est aussi soignée que tant et tant d’autres ici, mais cela tiendrait-il seulement à la palette de couleurs choisies, à sa saveur délicieusement orientaliste ? Quoiqu’il en soit, c’est une belle occasion de saluer ton talent de coloriste et d’aquarelliste tout aussi inspirant à chaque fois que ton trait vif et léger (il est trait beau, il sent trait bon le sable chaud…).
Oserai-je dire (moi aussi) que ce dessin ne me satisfait pas vraiment, comme d’autres leur Arletty, et qu’un glissement subversif l’entraînant vers Patrick Dupont me gêne aux entournures des pinceaux… ? L’esquisse était plus proche du modèle, une fois de plus…
Il est toujours vivant ? (honte sur moi)
Votre dessin est ma-gni-fi-que !
Soeur O’raison
P.S. : êtes-vous bien reposer ? Si oui, hâtez-vous…votre prochain album est très très attendu.
Je suis très impressionné ! J’ai revu ce cher Lawrence il y a peu, au ciné, et je le retrouve ici en chair et en aquarelle, tel quel. Très belle performance : bravo !
Super !
Mais bon si vous dites que le croquis est plus joli que le dessin fini, je suis curieux de le voir…
Pas plus joli, mais un poil plus ressemblant, à mon avis. Cela dit, c’est souvent le cas avec les croquis, plus imprécis que les dessins achevés ; le cerveau reconstitue l’inachevé du croquis et rehausse la ressemblance, en ce qu’il « connaît » le visage et fait des ajustements.
Oublions un le colonel Lawrence, pour Peter O’toole.
Votre dessin m’a donné envie de revoir « Lord Jim » et le très inquiétant « La nuit des généraux »…
Très belle aquarelle effectivement.
Mais , je suis pas étonnée du tout, j’ai feuilleté ce blog en long , large et travers, et vos carnets de voyages sur votre blog précédent, alors , je vous reconnais bien , même si chaque fois , vous me laissez bouche bée.
Le portrait que je préfère est celui de « votre bouchon ». Quelle tendresse là dedans. Je l’adore.