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Il naquit paraît-il Villain, qui l’eut cru ?
Or, fait à l’image d’un jeune coq tôt,
le beau sut dès lors en jouer. Il ajoute
une fente au masque de l’acteur, une corde
à l’arc de l’artiste en sculptant ceux
qu’il a Aymé.
Petit duel comme autrefois avec l’ami Da Costa
et Thierry Coquelet…
Trop facile maître, je (m) en marrerais!
superbe ! loin de vous estre embourbé dans des terres parfois vaseuses…
Très réussi !!!!!!!
Un duel en plus,ça va bien avec le sujet!!!!!!
Thierry Coquelet parle de reprendre ses croquis,ce sera un « triel »?
Pan !, et de deux (magistrales versions !).
Da Costa et toi, avez fait jaillir l’élégance, l’énergie Fracassante du modèle à travers vos coups de crayons respectifs.
La précision avec laquelle tu l’as dessiné est remarquable, enivrante pour l’amateur, et qui ne tient pas du simple miracle d’elle, ou alors je n’aurai rien compris.
Néanmoins, voilà qui refroidit considérablement mes ardeurs jeanmaraisques déjà bien mises à malle (oui, elle se font la malle), bien que j’entende, là, bêler la bête pour qu’on l’achève. « Ah, si j’osais », fait Balsamo.
Je suis sûr que tu ne résisteras pas à l’appel et là, bête, tel le canard floué par le chasseur, tu te laisseras damner ; car bien souvent l’appeau damne… Je suis sûr que tu sauras, sous l’apparent terrible, tailler un diamant sous ton stylo et que tu escomptes de montrer cristaux à nos yeux ébaubis…
Merci maître d’avoir ainsi rendu la classe du héros de mon enfance, prince des films de cape et d’épées, si souvent opposé à Guy Delorme, autre « gueule » du cinéma de cette époque et qui se prêterait bien aussi à la caricature.
Bien sûr, en grandissant, j’ai appris aussi à apprécier l’autre dimension de Jean Marais, mais j’ai toujours un faible pour ce capitan.
Il fut sans doute le ténor des films à décaper des pets, qui font boum sur Paris, abrasifs dont l’atour prend garde, l’échouant au nez du nabot Léon, le paria.
J’ai croisé Jean Marais il y a quinze-vingt ans, c’était un homme gentil et modeste.
Coq tôt…beau sut….élevé aux carambars vous dis-je !!!
Vous oubliâtes la « fente au mas »que… Tsss.
Point d’oublie de ma part, j’ai mis des points de suspention à cet effet. Si ma mémoire est bonne on les utilise à la fin de listes non exhaustives, n’est-il pas ?
(comment avouer sans honte que je suis passée à coté de fantomas : La buse)
Et votre album, très cher, il avance ? (détourner l’attention de façon subtile)
suspension ? Votre langue est difficile !
Laissez ma langue tranquille, retournez en prières, ma soeur…
Alors, je vous prie d’excuser mon effronterie.
Allez en paix (et mon album avance doucettement, pas assez vite à mon gré mais mon scénariste est lent…).
J’ai cru que c’était Jean Louis Borloo. Celà dit, en vrai, JLB a effectivement un petit air de Jean Marais…
Jean Marais embourbé (ou en Bourbon).
Une « gueule » comme on n’en fait plus et un regard superbement rendu! Bravo!!!