Judi un samedi.

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Autre cible d’un concours, Judi Dench, actrice shakespearienne

qu’on a surtout découverte dans le rôle de « M » des derniers

James Bond. Un côté hautain, froid (on a toujours l’impression

qu’elle se caille, folle), mais non sans humour, quand toutes

meufs sont lasses de jouer les bimbos ; elle a accepté ce rôle

pour plaire à son mari en devenant James Bond’s girl…

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Toujours faire appel à Impro.

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Quelques jolies images (dues à Stéphane Vella) du spectacle

du week-end dernier à Lyon, au cinéma Pathé de Vaize,

avec Marion Montaigne, Alfred, Jérôme Jouvray

et moi-même aux crayons et feutres divers, avec les amis de

La Scène Déménage ; Alexandra Bialy, Tony Curien, Jocelyn Flipo,

Alex Ramirez, Florian Santos et Thaïs Vauquière, et avec deux

musiciens très bien aussi mais dont j’ai oublié les noms…

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On me lâche en premier dans l’arène (le roi n’était pas là).

Présentation du présentateur et du spectacle…

Les comédien-ne-s…

Présentation des comédien-ne-s, selon une imagerie très BD…

Détermination des personnages… (Alex doit suivre un entrainement

pour pouvoir incarner le beau héros victime d’une malédiction musculaire)

Comme on le voit, l’entraînement a porté ses fruits. Au marché.

Thaïs doit aussi figurer une éventuelle héroïne.

…Et Florian sera le comparse du héros. Un débile moyen (rôle

de composition finement interprété, Florian « habite » ses personnages).

Les recherches graphiques pour le rôle du comparse (Marion

habite aussi ses personnages, mais c’est plus facile ; elle est plus petite).

Planter le décor (à 4 mains sur un format A3, cherchez la main en trop).

Trouver un titre au « mélodrame romantique d’horreur »

(les Twighlettes sont au fond du couloir).

Travailler sous le regard des pros (jecteurs).

Le décor, les comédiens, tout est en place, sauf la main d’un géant…

Parfois, les comédiens sont plus mal dessinés que sur le papier.

Parfois, les comédiennes sont mieux dessinées

(mais faudrait qu’elles viennent poser plus souvent).

Lire les pensées des comédiens, les retranscrire

dans toute leur complexe subtilité.

Jusqu’au Happy End.

Merci, salut, à la prochaine.

On a bien rigolé.

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Gérard fit lippe ou fit la moue…

Qu’il fit lippe ou la moue, toujours il émut,

mu d’une fièvre vibrante et d’une jeunesse

éternelle. Etait-il espiègle ou romantique ?

Ou les deux à la fois, le rouge et le noir ?

Une tentative un peu plus poussée, au stylo,

pure coqueletterie de ma part…

 

 

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